Suite à la tragédie de Munich en 1972 où une délégation israélienne avait été prise en otage par un groupe de terroristes palestiniens et qui s'était finie par un carnage dû à l'inexistence à l'époque d'unités spécialisées en Allemagne.
La France examina avec grand intérêt les solutions qu'elle pourrait apporter pour lutter contre ses attaques difficiles à prévoir et à éviter. C'est pour cela qu'en novembre 1973 le GIGN fut créé pour pouvoir en cas de crise intervenir avec des hommes préparés toute l'année, protégés et armés en conséquence, pour prendre le minimum de risque. Mais c'est le premier mars 1974 que l'unité était véritablemment opérationnelle.
La France examina avec grand intérêt les solutions qu'elle pourrait apporter pour lutter contre ses attaques difficiles à prévoir et à éviter. C'est pour cela qu'en novembre 1973 le GIGN fut créé pour pouvoir en cas de crise intervenir avec des hommes préparés toute l'année, protégés et armés en conséquence, pour prendre le minimum de risque. Mais c'est le premier mars 1974 que l'unité était véritablemment opérationnelle.
Le 1 mars le GIGN atteignait un réel niveau opérationnel et le Lieutenant de l'époque, Christian Prouteau en était le chef. A peine dix jours plus tard le groupe était mis à l'épreuve pour interpeller un groupe terroriste à Ecquevilly. L'action exécutée avec succès prouva à la gendarmerie nationale l'utilité de cette unité spécialisée. A l'époque le GIGN était séparé en deux groupes l'un à Maisons Alfort l'autre à Mont de Marne respectivement GIGN I et GIGN IV, mais par la suite les 118 membres furent regroupés pour mieux réagir face à des actions de grande ampleur.